symétrique

Commençons par des exemples, pour illustrer ce que veut dire le mot symétrique. Les deux moitiés du visage sont symétriques. Les ailes d’un papillon sont symétriques. Des lunettes sont symétriques. Autrement dit, quand un objet comporte deux parties semblables mais inversées, on les qualifie de symétriques.

On rencontre cette notion pendant la scolarité, en géométrie, quand on étudie des figures symétriques, des formes symétriques. Par exemple, un cercle est une figure symétrique, car on peut le découper en deux parties identiques (mais inversées).

Allons un peu plus loin : deux éléments sont symétriques par rapport à un axe, appelé axe de symétrie (ça peut aussi être par rapport à un point, à un plan). Cet axe, c’est la ligne autour de laquelle les deux parties semblables se correspondent – il fonctionne un peu comme un miroir. Par exemple, dans un carré, la diagonale est un axe de symétrie, car elle découpe le carré en deux parties semblables, qui se situent de part et d’autre d’elle.

On utilise aussi le mot symétrique comme nom. Par exemple, dans un exercice, s’il faut déterminer le symétrique d’un cercle par rapport à un axe, on cherche à tracer un cercle qui sera symétrique avec le cercle qui est donné, en utilisant un axe de symétrie.

La notion de symétrie va plus loin que la correspondance entre deux moitiés d’une figure. En géométrie, il existe différents modèles de symétrie (par exemple une spirale possède une forme de symétrie), mais on ne va pas entrer ici dans les détails.

On emploie également le mot symétrique en électronique (montage symétrique), en chimie (structure symétrique d’une molécule), en algèbre et en logique.